20-10-2006, 19:29 PM
Comme beaucoup de monde le répète, de nombreuses personnes malintentionnées envers les enfants rodent et chassent sur internet. Aux USA, le problème vient d'être soudainement pris au sérieux par le gouvernement, qui a décidé d'engager le célèbre Kevin Poulsen pour tenter de régler les choses.
Une homme, mais pas n'importe qui...
Après être arrivé à quelques milliers de lignes de code, l'homme en question a sondé plus d'un million de comptes Myspace pour tenter de mettre la main sur les quelques 400 000 délinquants sexuels estimés. Même si les personnes ayant été ugées pour leurs pratiques sexuelles douteuses sont tenues de donner par la suite leurs adresses email à la justice. Le programme de recherche se base aussi, et avec succès, sur ces informations collectées.
Evidemment, rien n'est parfait...
Et le code non plus, celui-ci a en effet généré de fausses identifications mais a tout de même permis l’identification de 744 suspects dont 497 déjà listés comme pédophiles :
« Le code a eu des problèmes sur un grand nombre de fake ou de profil invérifiable. En bossant dessus à mi-temps pendant plusieurs mois, j’ai épluché les données et comparé les photos manuellement. [...] Pour chaque profil clairement explicite, j’en ai trouvé huit vraiment discrets. Dans bien des cas, le profil MySpace des prédateurs sexuels fait état d’une vie qui semble tout à fait normale. »
Mais même si cette affaire est une réussite, il est bon de rappeller que l'identité de chacun n'est pas toujours celle que l'on croit sur l'internet.
Source : http://www.infos-du-net.com
Une homme, mais pas n'importe qui...
Après être arrivé à quelques milliers de lignes de code, l'homme en question a sondé plus d'un million de comptes Myspace pour tenter de mettre la main sur les quelques 400 000 délinquants sexuels estimés. Même si les personnes ayant été ugées pour leurs pratiques sexuelles douteuses sont tenues de donner par la suite leurs adresses email à la justice. Le programme de recherche se base aussi, et avec succès, sur ces informations collectées.
Evidemment, rien n'est parfait...
Et le code non plus, celui-ci a en effet généré de fausses identifications mais a tout de même permis l’identification de 744 suspects dont 497 déjà listés comme pédophiles :
« Le code a eu des problèmes sur un grand nombre de fake ou de profil invérifiable. En bossant dessus à mi-temps pendant plusieurs mois, j’ai épluché les données et comparé les photos manuellement. [...] Pour chaque profil clairement explicite, j’en ai trouvé huit vraiment discrets. Dans bien des cas, le profil MySpace des prédateurs sexuels fait état d’une vie qui semble tout à fait normale. »
Mais même si cette affaire est une réussite, il est bon de rappeller que l'identité de chacun n'est pas toujours celle que l'on croit sur l'internet.
Source : http://www.infos-du-net.com