25-07-2006, 08:19 AM
Afin de justifier l'existence et l'utilisation de son programme WGA (Windows Genuine Advantage), lequel permet notamment de détecter les systèmes d'exploitation Windows XP qui ne sont pas dotés d'une licence originale, Microsoft a publié sur son blog quelques statistiques liées au travail effectué par WGA.
WGA aurait ainsi détecté plus de 60 millions de PC qui seraient associés à des licences non-valides / piratées de Windows XP. Il est précisé que le problème des « faux positifs » aurait rapidement corrigé et n'aurait eu que très peu d'impact sur ces statistiques. « Seule une petite portion d'un pourcent de ces 60 millions seraient effectivement des faux positifs », précise un responsable de l'équipe WGA sur le blog en question.
Reste que cela doit tout de même représenter des centaines de milliers de PC qui sont identifiés comme étant associés au piratage de Windows XP alors qu'ils disposent bien d'une licence légale. De nombreux utilisateurs se sont d'ailleurs plaints à ce sujet, ce qui a eu pour conséquence de relancer la controverse à propos de WGA.
Les statistiques publiées par Microsoft annoncent qu'une licence sur cinq, parmi les 300 millions de licences analysées par WGA, est une licence illégale. 80% (soit 48 millions) de ces licences jugées « illégales » seraient liées à l'utilisation de clés illégales volées et initialement liées à des grands comptes (entreprises, écoles ...). Pour se prémunir de ce type de problème, Microsoft pense revoir sa politique de distribution de clés aux grands comptes avec Windows Vista.
Les 12 millions restants seraient liés à d'autres types de contrefaçons : hacking, modifications des fichiers de Windows ou du programme WGA directement... Microsoft avoue par ailleurs que certaines mauvaises installations ou réparation de Windows peuvent conduire WGA à rejeter certains ordinateurs. Le géant du logiciel ne remet toutefois pas en cause l'utilité de son programme qui permettrait notamment de pointer du doigt et d'informer les utilisateurs des pratiques de certains revendeurs, magasins peu scrupuleux, prêts à vendre des versions pirates.
Le programme et surtout sa distribution ont souvent été critiqués. Dernièrement, le programme était proposé en mise à jour critique, installée automatiquement. Mais dès la fin juin Microsoft a cessé de proposer le programme sous cette forme, suite aux nombreuses plaintes des utilisateurs de Windows. L'installation et l'identification via WGA reste toutefois une obligation pour installer certains programmes / modules Microsoft comme Internet Explorer 7, par exemple. Aux Etats-Unis, deux plaintes ont déjà été déposées contre Microsoft à propos de WGA (voir la brève Nouvelle plainte contre le WGA de Microsoft).
Source : Clubic
WGA aurait ainsi détecté plus de 60 millions de PC qui seraient associés à des licences non-valides / piratées de Windows XP. Il est précisé que le problème des « faux positifs » aurait rapidement corrigé et n'aurait eu que très peu d'impact sur ces statistiques. « Seule une petite portion d'un pourcent de ces 60 millions seraient effectivement des faux positifs », précise un responsable de l'équipe WGA sur le blog en question.
Reste que cela doit tout de même représenter des centaines de milliers de PC qui sont identifiés comme étant associés au piratage de Windows XP alors qu'ils disposent bien d'une licence légale. De nombreux utilisateurs se sont d'ailleurs plaints à ce sujet, ce qui a eu pour conséquence de relancer la controverse à propos de WGA.
Les statistiques publiées par Microsoft annoncent qu'une licence sur cinq, parmi les 300 millions de licences analysées par WGA, est une licence illégale. 80% (soit 48 millions) de ces licences jugées « illégales » seraient liées à l'utilisation de clés illégales volées et initialement liées à des grands comptes (entreprises, écoles ...). Pour se prémunir de ce type de problème, Microsoft pense revoir sa politique de distribution de clés aux grands comptes avec Windows Vista.
Les 12 millions restants seraient liés à d'autres types de contrefaçons : hacking, modifications des fichiers de Windows ou du programme WGA directement... Microsoft avoue par ailleurs que certaines mauvaises installations ou réparation de Windows peuvent conduire WGA à rejeter certains ordinateurs. Le géant du logiciel ne remet toutefois pas en cause l'utilité de son programme qui permettrait notamment de pointer du doigt et d'informer les utilisateurs des pratiques de certains revendeurs, magasins peu scrupuleux, prêts à vendre des versions pirates.
Le programme et surtout sa distribution ont souvent été critiqués. Dernièrement, le programme était proposé en mise à jour critique, installée automatiquement. Mais dès la fin juin Microsoft a cessé de proposer le programme sous cette forme, suite aux nombreuses plaintes des utilisateurs de Windows. L'installation et l'identification via WGA reste toutefois une obligation pour installer certains programmes / modules Microsoft comme Internet Explorer 7, par exemple. Aux Etats-Unis, deux plaintes ont déjà été déposées contre Microsoft à propos de WGA (voir la brève Nouvelle plainte contre le WGA de Microsoft).
Source : Clubic